A l’issue du Congrès mondial de la nature, réuni à Jéju en République de Corée, pour sa session du 6 au 15 septembre 2012, la Résolution 128 a été votée, priant « tous les gouvernements de reconnaître l’importance du principe de non-régression dans la politique et le droit de l’environnement pour atteindre les objectifs de développement durable »
A l’issue du Congrès mondial de la nature, lors de sa session réunie à Hawaï, aux États-Unis d’Amérique, du 1e au 10 septembre 2016, la Résolution 074 a été votée, priant « tous les gouvernements de prendre des mesures pour mettre en œuvre effectivement et renforcer le principe de non-régression dans les domaines de la politique et du droit de l’environnement, en tenant dûment compte des dispositions constitutionnelles de chaque pays, avec la participation pleine et entière, informée et effective des détenteurs de droits et acteurs pertinents et dans le respect des droits des peuples autochtones et des communautés locales ».